Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

 

 Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Satine.*
Membre régulier
Satine.*


Inscription : 29/07/2008
Messages : 1750

Profil Express'
Statut: C’est compliqué…
Pensées:
Relations & Affinités:

Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV Empty
MessageSujet: Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV   Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV EmptyJeu 17 Fév 2011, 2:59 am

    Elle inspira profondément. L’attente semblait interminable, et toujours plus douloureuse de seconde en seconde. Et si? ET si IL ne venait tout simplement pas? ....

    Rejetant une mèche de cheveux vers l’arrière, Satine ferma les yeux. Elle essayait du mieux qu’elle le pouvait d’apaiser ses pensées, de calmer son cœur affolé avant qu’il ne soit là, mais en vain. La jeune fille le savait, rien n’y ferait tant qu’elle ne l’aurait pas vu ; qu’ils n’avaient pas parlé. Jouant nerveusement avec son verre, les bras tendus sur la table, elle attendait son arrivée, guettant les clients qui passaient la porte d’entrée souvent ; trop souvent peut-être. Le revoir depuis tout ce temps la rendait terriblement nerveuse. Un mélange de peur et de joie circulait dans tout son corps et se faisant, ses battements cardiaques s’était grandement accélérés rien qu’à l’idée de se retrouver là finalement en face de lui.

    Plusieurs souvenirs lui revenaient en « flasback » qui s’enchaînait, sa voix forte et masculine qui avait si souvent trouvé les mots pour qu’un sourire se fraye un chemin sur ses lèvres. Son rire particulier, les quelques fois qu’il l’avait aperçu sous un jour que seul lui aurait pu y avoir droit : Une Satine vêtue d’une de ses chemises à LUI, les cheveux en bataille un beau matin. De là, lui revenait l’effluve de son parfum pour homme, qu’elle affectionnait tant et dont restaient imprégnés certains de ses vêtements après de longues heures passées près de lui. Cela l’amenait à se rappeler tous les moments qu’ils avaient passés ensemble, où ses lèvres n’avaient su quitter trop longtemps les siennes, où son regard à la fois mystérieux et charmeur avait su capter son attention jusqu’à ce qu’elle en soit incapable de s’en détacher et ce, même les quelques fois où elle voulait feindre d’être contrariée lorsqu’il la taquinait un peu…

    Satine avait dû rassemblée son courage une première fois pour oser lui téléphoner, préférant devoir l’affronter en entendant ses paroles de sa bouche plutôt que par l’entremise de textos. À défaut d’avoir eut la chance de lui parler de vive voix, elle était tombée sur sa boîte vocale à la suite de laquelle elle avait fait suivre un message. Un message un peu confus, sa voix trahissant trop bien la nervosité qui s’imposait à elle alors qu’elle ne s’adressait qu’à une banale machine. Le message avait été court, mais avait eut le don de transmettre l’essentiel de la missive. Elle avait envie de le voir, elle devait le voir… et réserverait une table pour deux à LEUR restaurant pour dix-neuf heures précises, ce soir. Avant qu’il ne retourne finalement son appel, et par l’heureuse malchance tombe sur son répondeur à elle pour confirmer le lieu et l’heure du rendez-vous, Satine avait bien failli perdre espoir, croyant ses chances anéanties et qu’IL avait tourné la page, faisant également une croix complète sur elle.

    Suite à cela, elle n’avait cessé d’y penser. Plus d’un scénario avaient pris forme dans son esprit en songeant à leurs retrouvailles. La jeune fille croisait les doigts pour que tout ce passe bien, dans la mesure du possible, bien que certaines images beaucoup moins belles avaient trouvé le chemin de ses rêves pour la réveiller quelques fois en sursaut la nuit jusqu’à ce que le fameux soir. Angoissée comme elle était, il lui avait été difficile de fermer l’œil plus qu’une poignée d’heures par nuit. Quelques deux heures avant le rendez-vous, Satine s’était douchées, avait fait le tour de sa garde-robe à la recherche de la tenue parfaite, celle qui la rendrait belle malgré tout à ses yeux.

    Elle portait une petite robe bustier d’un rose corail très pâle, qui épousait délicatement ses courbes par un col en cœur et une coupe un peu plus bas que mi-cuisse, plus ou moins ample et resserrée tout juste sous sa poitrine. Ses cheveux blonds lissés de façon impeccable étaient sertis d’une broche délicate qui dégageait son visage des deux côtés dont seul un peu de noir rehaussait le bleu de ses yeux et un peu de rose pour ses lèvres. Perchée sur ses talons hauts, elle s’était attardée à inspecter minutieusement chaque petit détail de sa toilette. Elle voulait être parfaite pour Lui et seulement pour lui…

    Les jambes croisées sous la table, Satine avait du mal à tenir en place. Si elle s’écoutait, elle serait probablement en train d’arpenter de long en large la pièce en espérant dissiper son anxiété, ses appréhensions, son angoisse, avant son arrivée, mais dans un lieu public il valait conserver certaines bonnes manières de bienséance aussi s’était-elle rabattue sur son verre ou un coin de la serviette de table dont ses doigts allaient et venaient nerveusement.

    Finalement, elle le vit faire son entrée et s’adresser au maitre d’hôtel. Son cœur, sa respiration tout semblait avoir cessé de fonctionner subitement à sa seule vue. IL était si beau. Se retournant vivement, elle était à présent dos à lui. Elle n’osait pas bouger, ne savait pas trop si elle le devait ou non. Inspirant profondément, une dernière fois, avant qu’il ne soit véritablement là à quelques centimètres d’elle. Satine chercha à feindre l’état de celle qui n’avait pas passé son temps à se retourner vers l’entrée et le comptoir des réservations à s’en donner un mal de cou intense. Aussi, aurait-il était plus simple si elle avait pris la chaise en face. Mais il fallait que ce soit ainsi, c’était leur resto, leur table qu’ils avaient occupé la dernière fois, elle avait cette chaise il avait la seconde…
Revenir en haut Aller en bas
Cleveland.
Administrateur
Cleveland.


Inscription : 06/04/2008
Messages : 2429
Date de naissance : 07/04/1994
Âge : 30

Profil Express'
Statut: Célibataire
Pensées:
Relations & Affinités:

Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV Empty
MessageSujet: Re: Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV   Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV EmptyJeu 17 Fév 2011, 4:00 am

« Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... »

Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV Sans_t12

« BAAAMH ! » La porte de la chambre claqua avec une violence qui en disait long sur l'état d'esprit de Cleveland lorsque celui-ci - les yeux cernés, les dents serrées et sans respect pour le sommeil de ses colocs - sortit de sa villa pour répondre à l'invitation de Satine – ex petite amie Satine, en faite qu’il considérait même si il devait bien se l’avouer se n’était pas se qu’il avait voulu - de la au restaurant « Aux Papilles Dorées » . Vêtu d'une veste en cuir par dessus laquelle il portait une écharpe, ainsi qu’une chemise noir. J’arborais mon style de tout les jours mais en ayant un peu quelques chose de chic. Le manque de sommeil et la " confrontation avec l’un de ses amis l'avaient fait se lever du pied gauche, comme c'était à prévoir, et le fait que ce fut le texto de Satine qui l'avait réveillé deux minutes avant que le réveil ne sonne n'avait fait que contribuer à cette mauvaise humeur à couper au couteau. Tout avait été de travers, rien ne s'était passé comme prévu, du début à la fin, la soirée de la veille avait été un plantage en bonne et due forme, chose qu'il n'avait pas l'habitude de vivre en tant que monsieur parfait, toujours gagnant et toujours maître des évènement. Certes, il aurait pu envoyer bouler la blonde et passer sa journée au lit et ruminant toute sa mauvaise humeur sous la couette, ce n’était pas du tout Cleveland.

Mains dans les poches, regard sombre et passablement vitreux, il sortit de sa chambre et remonta la promenade en direction de la plage en essayant de chasser les souvenirs qui se battaient à coup de griffes pour refaire surface. Cette promenade, cette maudite promenade ... Lorsqu'il arriva, il n'accorda pas un bonjour, pas un sourire au pauvre peuple qui n'avait rien demandé et se contenta de grimper quatre à quatre les escaliers qui menaient à cette fameuse dune où ils avaient l'habitude de venir se détendre un peu quand il était stresser à cause d’un éventuel rendez-vous ou autres. Cette journée passé, il retourna dans sa sa demeure, il fut surprit de trouver l’une de ses nouvelles amies prête à frapper à sa porte. « Qu'est ce que tu fais là ? » « Oh rien, je voulais juste te voir, je t'ai vu donc je passe » il lui répondit tout en rentrant dans la maison « Oui mais je dois me préparer là ma belle » elle le regarda d'un grand sourire « Oh monsieur se décide enfin à se caser ? » il se retourna et lui lança un coussin qu'il avait attrapé sur son fauteuil « Qu'est ce que tu insinues là? » Il ne lui laissa pas le temps de répondre qu'il s'enferma dans la salle de bain, prit une douche et s'habilla d'un jeans foncé noir et d'une chemise noir puis enfila une veste noire par dessus, puis ressortit. La jeune femme la regarda avec de gros yeux « Clev .. T'es juste ... Sans commentaires. C'est pour Satine n'est-ce pas ? » Cleveland' la regarda amusé et ajouta « Jalouse ? » Ils rirent de bon cœur, il regarda sa montre qui indiquait 6.15 p.m et il avait rendez vous à 8.00 pm devant le plus beau restaurant de la ville. Jamais il n'aurait cru pouvoir ressentir ça un jour, être nerveux. « Allez files ! Tu vas être en retard. » A vrai dire, c'est la première fois qu'il va au restaurant seul avec une fille en faite non c’était simplement la première fois qui y allait une seconde fois avec une fille, lui qui est toujours avec ses potes et qui accumule les coups d'un soir.

Le temps passe si vite, coulant sur les flots de nos jours à moins que ce ne soient nos jours qui coulent sur les vagues du temps. Insaisissable, incontrôlable. J'ai rêvé un jour de pouvoir l'arrêter, le contrôler, le maîtriser. D'un coup de baguette magique, en faire ce que je voulais et ne plus vieillir, ne plus être son esclave ! Esclave du temps à qui je ne demande rien. Ce serait si beau de ne plus vieillir, de ne plus risquer les rhumatismes, la maladie, de toujours courir sur ses deux jambes, de bondir par dessus les poubelles, de faire du parapente, de l'escalade, de tomber et de se relever sans la moindre égratignure, de bêcher son jardin sans devoir se coucher deux jours !!!Mais ce serait si triste de ne plus vieillir ! De ne plus changer, de rester celui qu’il était, comme il est aujourd'hui, de n'avoir aucune chance de s'améliorer un peu, encore un peu, juste un peu ! De ne pas voir passer les jours en disant que demain serait un autre jour, un jour autre. De ne pas voir baisser le jour, de ne pas se voir s'en aller, de ne pas avoir à pleurer ses amis, ses proches qui vous quittent, de ne pas éprouver l'amour au moment même du grand départ. Que serait la vie sans le temps de la fin de vie, sans le temps qui précède la vie ? Il se soucie beaucoup trop du passé et de l'avenir et il oubliait que ce qui importe, c’est le temps présent et que si il continue à philosopher sa vie, si on peut dire ça comme ça, il allais finir par rater son rendez vous avec Sat. Il sortir donc et lança au premier taxi qu’il aperçu : « taxi !! » criait-il à une voiture jaune qui passait près de loi. Il s'arrêta et me demanda ma destination « Le Restaurant Aux Papilles Dorées s'il vous plait . » il acquiesça et Cleveland montais à bord.

Les immeubles défaillaient devant lui, il l’aime la nuit avec passion. Il l’aime comme on aime son pays ou son amant, d'un amour instinctif, profond, invincible. Il l’aime avec tous ses sens, avec ses yeux qui la voient, avec son odorat qui la respire, avec ses oreilles qui en écoutent le silence, avec toute sa chair que les ténèbres caressent. Le jour le fatigue et l'ennuie. Il est brutal et bruyant. Il se lève avec peine, il s'habille avec lassitude, il sors avec regret, et chaque pas, chaque mouvement, chaque geste, chaque parole, chaque pensée le fatigue comme si il soulevais un écrasant fardeau. Mais quand le soleil baisse, une joie confuse, une joie de tout son corps m'envahit. il s'éveille, il s'anime. A mesure que l'ombre grandit, Clev se sens tout autre, plus jeune, plus fort, plus alerte, plus heureux. il la regarde s'épaissir la grande ombre douce tombée du ciel : elle noie la ville, comme une onde insaisissable et impénétrable, elle cache, efface, détruit les couleurs, les formes, étreint les maisons, les êtres, les monuments de son imperceptible toucher. Le taxi s'était arrêté, la voix du chauffeur effleurait ses oreilles mais sans vraiment y pénétrer, Clev ne l'écoutait pas, il étais envoûté par ce qui était de l'autre coté de la vitre, la nuit. Une main le secoua, « eh oh, monsieur, vous descendez pas ? Le compteur tourne toujours vous savez ? », il repris ses esprits, sortit un billet de cinquante dollar et le tendit au chauffeur, « gardez la monnaie » et le jeune homme descendis du véhicule.

6.55 pm. Ouf juste à temps, il rentra dans le restaurant et se dirigeait à la table que le serveur lui a indiqué là. C’est-à-dire la table qu’elle avait pris le temps de réservé même si elle n’était pas certaine de sa venu. Il pris un bref moment pour reprendre sa respiration avant d’aller lui parler depuis son retour et Cleveland fit les quelques pas qui la séparait d’elle pour la saluer. « Satine ! »



Revenir en haut Aller en bas
http://summerparadise.bbfr.net/
Satine.*
Membre régulier
Satine.*


Inscription : 29/07/2008
Messages : 1750

Profil Express'
Statut: C’est compliqué…
Pensées:
Relations & Affinités:

Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV Empty
MessageSujet: Re: Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV   Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV EmptyJeu 17 Fév 2011, 6:28 am

    Tirée de ses pensées, Satine sursauta lorsqu’elle entendit les syllabes de son prénom, prononcées par sa voix à proximité. Ça y est, il était là. L’intonation qu’employa Cleveland la surpris. Il semblait être dans un tout autre état qu’elle, et on aurait dit de par sa voix que ces retrouvailles n’avaient pas la même signification qu’elles pouvaient avoir pour elle. Chassant de son esprit tout se qui ressembla à des idées un peu trop hâtives, La jeune femme tourna la tête, croisant du même coup le regard profond de Cleveland qui venait de se poser sur elle. Un sourire se peint sur le visage de la jolie blonde qui n’avait jusque là pas encore détaché ses yeux de lui avant de se lever de sa chaise. Ses boucles d’oreilles froides effleurèrent le côté de sa mâchoire, lorsqu’elle avança son visage vers le sien, lui offrant ainsi une bise assemblant le plus d’assurance qu’elle avait su trouver en sa présence. Ce premier contact de proximité entre elle et lui, frappa Satine, la rendant mal à l’aise plus qu’autrement, se demandant si elle n’aurait pas dû s’abstenir un tel geste étant donné les circonstances.

    « Bonsoir Cleveland » lui dit-elle doucement.

    Elle détourna le regard, invitant Cleveland à prendre place à la table d’un discret signe de la main effleurant celle du jeune homme maladroitement ce qu’elle feint d’avoir remarqué, ne voulant pas appuyer plus fort sur la blessure. De toute évidence le revoir finalement apportait son lot de remords. Satine ne se sentait pas particulièrement en confiance de ses moyens et cherchait à dissimuler le tout pour ne pas rendre la situation plus inconfortable qu’elle ne l’était déjà. Pourtant, elle se serait vu quelques mois auparavant, radieuse, sauter au cou de celui qu’elle aimait cherchant à soutirer un baiser de ses lèvres à lui murmurer un petit « je t’aime » simple, mais sincère. Aujourd’hui, il lui fallait garder ses distances, bien qu’une certitude semblait faire écho aux battements rapides de son cœur.
    Enfin, les premières secondes défilaient à une vitesse folle, et un silence de plomb venait de tomber sur les deux jeunes gens ce qui rendait mal à l’aise Satine qui chercha à formuler une phrase censée pour combler le vide qui devenait de plus en plus lourd. Elle ne savait même pas pourquoi cette fois elle avait prononcé son prénom entier, chose qu’elle avait fait que très rarement, il ne lui semblait pas naturel de le prononcer aussi se reprit-elle lorsqu’elle fini par ajouter :

    « Clev Je suis heureuse de te voir... vraiment. À un moment, j’ai crains que tu… ne te présentes tout simplement pas. » Son regard s’était à nouveau posé sur lui, ses yeux bleus laissait miroiter le reflet de la lumière poser au centre de la table brillant d’une douce lueur. Ses paroles n’auraient pu être plus sincères. Elle avait réellement eut peur de ne jamais le revoir…

    Mis à part, ses craintes, la jeune femme avait appris certaines choses à son sujet qui lui laissait croire qu’il avait refait définitivement sa vie. Selon les rumeurs qui circulaient, Cleveland avait repris son mode de vie nocturne, de « party animal » et surtout de macho, playboy auquel aucune femme n’était en mesure de résister ce qui valait au beau brun d’accumuler les jolies minettes dans son lit. Ses beuveries avaient repris avec ses anciens potes avec qui il partageait à peu près tout dont ce mode de vie indépendant. À l’époque de leur relation amoureuse, on criait au miracle de voir ce cher Cleveland Abrahams se caser sérieusement avec une fille. Satine avait été séduite comme toutes les autres par le charisme et le charme du jeune homme sauf que ce sentiment avait été réciproque… Il avait fallu du temps au clan de Cleveland pour qu’ils acceptent de la voir autrement qu’un coup d’un soir de Clev’ qui valait le coup d’essayer. « Ils étaient beaux » à ce qu’on avait dit d’eux, il filait le parfait amour jusqu’à ce que l’absence prolongée vienne écorchée ce qui était devenu de leur relation… Ils s’étaient tout promis et tout avait fini par voler en éclat. À contrecœur et par sa faute, Satine avait pris le titre d’ex-petite amie ; titre qu’elle aurait voulu ne jamais porter.

    Au même moment que Cleveland ouvrit la bouche pour lui répondre, un serveur se présenta à leur table, leur souhaitant le bonsoir et disposa le menu devant eux avant de repartir pour leur laisser le temps de délibérer sur le choix de leur repas de ce soir remplissant leurs verres d’eau fraîche en attendant. Satine avait tiré la serviette de table sur ses cuisses, puis porter son verre à ses lèvres pour désaltérée une gorge qui semblait nouée. Elle fuyait délibérément le regard du jeune homme qui lui était difficile à soutenir et dont elle connaissait l’emprise qu’il avait sur elle.

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV Empty
MessageSujet: Re: Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV   Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Parce qu'il existait ce Nous qu'on aurait cru éternel... PV
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Parce que Toi + Moi c'est éternel [Yumii]
» Parce que nous, draguer on aime ça (pv)
» « Parce que Chad ..
» Parce que les jets d'eaux c'est FUN :D PV [Skye <3]
» « Je met notre sujet là, parce que ... [Pv Roméo.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: • AVENUE DE LA JOIE • :: Restaurant « Aux Papilles Dorées »-
Sauter vers: