Kill me, I'm a Gleek

Résumé :
Will Schuester, professeur d'espagnol à Mc Kinley High, décide de faire revivre le glee club du lycée (soit l'équivalent anglophone de notre chorale française). Mais depuis ses années lycées, durant il s'est investit avec passion dans cette activité, les choses ont quelque peu changé. Glee club est aujourd'hui synonyme de looser, et de ce fait, le nombre de postulant est aussi grand que leur potentiels talents. Quasi inexistants. Or, pour espérer s'inscrire aux championnats régionaux qu'il doit impérativement gagner pour faire perpétuer le club, Will doit disposer de douze choristes au minimum...

Témoignage d'une Gleek:
Je crois avoir commencé la série parce que je cherchais un moyen de tuer le temps, et à vrai dire j'étais bien plus attirée par les performances musicales que par le scénario. Et même si celles-ci ne sont pas exactement dans le registre musical que j'apprécie en général, la mise en scène ainsi que l'énergie qui se dégage des reprises m'ont tenue accrochée à la série. L'histoire est un peu "gentille", mais le côté très parodique fait sourire. La tyrannique Sue Sylvester (ou le méchant incarné, haha) est très appréciable, et comme pour tout les autres personnages, son intérêt se trouve dans l'excès de son comportement et de sa personnalité.

Et parce que ça le fait en vidéo :