Ecritures automatiques. (ou pas)

Hhihi tu m'a donné envie d'en faire un sujet. (L)
Bref ceci est un sujet ou tu peut montrer tes textes à tout le peuple de DMVien, mais avant j'expliquerais une chose simple : le principe de l'écriture automatique. Cette façon d'écrire consite à poser des mots, sans jamais réfléchir à la suite. Un truc de freudiens. Bref.

Je commence.
Pour ce texte là, j'ai fait trois essais dont le point de départ était une phrase simple de ce genre. Un seul me plaisait réellement, celui qui suit.

Elle ouvre la bouche. Un cri laisse le désaroi s'échapper; Il est là par terre, inconcsient, ne le sera peut-être plus jamais. Des mains se plaquent sur sa bouche. Les siennes, ou peut-être pas en fin de compte. Plus rien ne compte. Il est étendu par terre et elle ne peut rien pour lui. Elle veut lui prendre la main, mais les siennes ne lui répondent plus. Elles sont engluées sur son visage gracile. Un frisson d'horreur descend le long de son dos, elle sue à grosses goutes. Des tempes, des yeux. En fait elle pleure. Il est parti, il ne peut pas revenir. En vérité il ne veut pas, elle le sait. Elle s'effondre, elle ne voulait pas non plus.

Ce n'était pas mieux plaçer dans "Jeux" ? ;) (Ou ai-je mal compris le contexte)

J'avais pas envie d'y aller, mais je m'y suis trouvée obligée. La vie n'est vraiment pas celle que l'on croit qu'elle est. Mais elle ne voulait pas le croire, c'était son seul espoir. J'avais envie de lui dire mais elle n'écoutait jamais, car elle voulait se faire sa propre expérience, quitte à se retrouver dans des galères... Je ne sais pas bien c'qu'elle pensait elle avait l'air de n'en avoir rien à faire. Elle se sentit bien mal quand elle apprit la veritée, c'était tout de même incensé. Elle ne croyait de toutes façons ce qu'elle voyait, donc, comme d'habitude, elle n'en tient pas compte. J'y suis allé vraiment à contre coeur, juste pour qu'elle en prenne conscience. Devant la porte je me suis trouvée fort mal, c'était grand, je me sentait petit, ridicule et futile. Je vis cette jeune femme au visage pâle et aux pommettes saillantes. Son désarroi était flagrant, il fallait que je lui parle. La dernière fois que je l'ai vue, c'était il y a bien longtemps, un jour de pluie... Elle était face à la personne qui allait pouvoir lui réveler ce qu'elle n'avait pas envie d'entendre, elle fit un sourire fort commercial et me laissa entrer. Son expression était si enfantin, que je luttait de lui parler comme à une gamine. Il fallait que je me lance, mais en me retournant il était trop tard. Sur son cou grâcile apparraîssait une brûlure qui n'y était pas auparavent , elle gisait sur le sol, la main sur le coeur.

Et voilà. C'est presque le recomencement. On ira toujours s'abriter sous l'ombre centenaire du parc de Diane, mais on se rendra compte avec désaroi que tout aura changé. Des têtes jusqu'au mentalitées. On profitera une dernière fois du soleil avant de s'engoufrer dans le gris de l'hiver... À la prochaine remise à zéro.

C'était en 1961 je fêtais mes 10 ce jours la et pour cela j'avais eu un billet de 5 franc pour mon anniversaire ce qui me suffisait pour m'acheter la petite figurine de plomb que je voulais j'avancais lentement et je vit un panneau sur la figurine de plom qui me fit tourner la tête tout en marchant je lisais la pancarte qui me donnait encore plus envie ,je souriait mais je fut bousculée par quelqu'un ,cette fille au regards bleus intense serait la femme de ma vie ,sans la savoir je venais de la rencontrer .Jelui sourit et ramassa mon billet de cinq francs tout en bafouillant un petit pardon ,ce moment fut magique ;Ce fut notre première rencontre ...

J'ai toujours entretenu une relation bizarre avec la négation. J'aprouve mon précédent lorsque je suis d'accord avec lui au lieu de répondre à la question posée. Je m'embrouille, je dit oui, puis non, puis oui. Oui, finalement c'est bien un oui. Je ne sais pas dire non ou bien oui. J'ai trop peur de vexer, de blesser. Oui, non, oui, non. Bien sur reste. Oh non, je te jure que ton gâteau était délicieux. Evidemment que tu est jolie. Non tu n'a pas raté ton exam. Oui ta mère peut manger à la maison. Non, je ne t'ai jamais aimé.
Nous, nous lançons quelques sourires polis de temps en temps. Mais tout ceci reste tendu.

Personne ne m'a jamais aimés .C'est bien la toute ma viie ,je suis une fille de 14 ans rongé par l'Acné avec des lunettes .Bref j'ai jamais aimé la vie c'est juste un long chemins parsemé d'obstacle et puis quand t'arrive enfin au bout t'a plus rien a faire c'est finit ta vie c'est terminé le chemin ne s'est pas prolongé ,J'en suis qu'au milieu de chemin mais je commence déjà a apercevoir la fin ,Depuis longtemp d'ailleurs , Le GPS m'indique qu'il me reste encore 86 kilomètre a faire pour atteindre la fin .C'est pour sa que personne ne m'aime a par l'Acné et les lunettes je suis handicapés et il ne me reste pas beaucoup de kilomètre a faire dans la vie .Mon Handicap ne change rien pour moi mais pour eux une "meuf " handicapé c'est la honte .Ma vie ne tient plus que sur un fauteuil roulant ...

[Super l'inspi ... :oups: ]